Gros plan sur le marché
libyen
La course aux contrats est
déjà lancée depuis longtemps, beaucoup d’investisseurs étrangers ont déjà pris
contact avec les représentants du Conseil National de Transition.Qui va profiter ?
Les lacunes des
entreprises tunisienne
Puis des intervenant au fil du temps
sont venu en Tunisie proposé des partenariat tuniso-libyo-turc, puis ca été un
partenariat tuniso-libyo-français, pour remporter des marchés. Chaque mois des
nouveau partenariat font surface, c'est un peu comme ci les autres se trouve
dans la même situation que les entreprises tunisienne
Les entreprises demande aussi une veille
et un suivi des nouvelles lois qui devrait être assurés par les autorités
compétentes par ce que le secteur est incapable de prendre une initiative et na
pas les moyens humain et ni les connaissance, alors ceux-ci compte sur l’état
pour tout faire. Ce que les entreprises oublie c'est que l'etat na ni les
compétences et ni la volonté de faire un travail qui reviendrais au entreprises
de le faire.
Un intervenant a fait remarqué que le
secteur du bâtiment et des travaux publics devrais se mettre à niveau avant
qu'il ne soit trop tard. Cette mise à niveau doit concerner toutes les
composantes humaines, matérielles et immatérielles du secteur et vise
notamment, à augmenter l’efficacité et la productivité d’un secteur.
La libye d'aujourd'hui
n'est plus celle d'hier
Parmi les lacunes dans les entreprises
tunisienne, il a le manque de flexibilité des procédures administratives,
notamment au niveau des structures financières et douanières, ainsi que le
problème du cadre législatif libyen conçu par l'ancien régime. En effet ce
cadre permet au partenaire étranger de détenir un quota du capital allant
jusqu'au 65% en cas de réalisation d'un projet sur le territoire libyen. Cela
est inadmissible pour les libyens d'aujourd'hui.
Les projets qui se mettront en place doivent s'adapter
aux politiques de la nouvelle Libye et s'inscrire dans le cadre du
développement durable, tout en favorisant la création d'emplois au profit des
libyens et non plus a la main d’œuvre étrangère tunisienne. De plus il devra y
avoir un transfert de savoir pour la Libye.
Le gouvernement libyen cherche actuellement à
développer sa propre industrie, à renforcer son économie et à booster le
savoir-faire de ses compétences humaines et veut faire participé tous les
libyens dans la restructuration de leur pays. Il n'est plus question d’être un
pays d'assisté comme sous Kadahfi.
Les libyen ne veulent plus rester être des
consommateur passif des produits étranger qui rentre dans le pays. Par contre
les responsables libyens veulent de fonder de véritables relations de
collaboration en offrant des potentialités énormes d'investissement à condition
d'un transfert de savoir et savoir-faire pour l'aider à se reconstruire et à
créer la nouvelle Libye. Et cela est légitime pour un pays.
Et puis au nombre des facteurs institutionnels, figure en bonne place dans la décision en Libye de séparer l’économique du politique, d’ouvrir son marché et de le soumettre à la loi de l’offre et de la demande.
En conséquence les libyens ont évoluer, sont devenu
plus intelligent et ne laisseront pas leurs pays en déclin en acceptant le
premier venu avec leurs banane.
Strategie tunisienne en Libye
En Libye les hommes d’affaires tunisiens sont mal encadré et présentent leurs savoir-faire, services et produits en rangs dispersés en courant a gauche a droite comme des fourmis. La centrale patronale, l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (UTICA) manœuvre à Tripoli tandis que les riveaux, la Confédération des entreprises citoyennes de Tunisie (CONECT), multiplie ses missions vers la future capitale économique a Benghazi.
La nouvelle administration libyenne qui est peu expérimentée et fort gênée par cet guerre patronal, essaie de satisfaire tout le monde en faisant le grand écart entre l’est et l’ouest libyens.
Il est a relevé que les deux organisations
patronales tout autant que les structures d’appui (CEPEX entre autres) et le
nouveau gouvernement sont parfaitement conscients de cette compétition et ne
s’emploient pas a y remédier a l'heure actuel.
La CONECT via son président, Tarek Chérif, recommande aux entreprises tunisiennes de valoriser au plus vite le capital sympathie dont jouissent les Tunisiens en Libye et d’être les premiers sur le terrain. Il s’agit d’exploiter le timing de sympathie pendant qu'il en n'est encore temps. En clair le temps joue contre les entreprises tunisienne.
La CONECT via son président, Tarek Chérif, recommande aux entreprises tunisiennes de valoriser au plus vite le capital sympathie dont jouissent les Tunisiens en Libye et d’être les premiers sur le terrain. Il s’agit d’exploiter le timing de sympathie pendant qu'il en n'est encore temps. En clair le temps joue contre les entreprises tunisienne.
Tarek Cherif, president de la Conect |
Habib Hammami, responsable du Centre de promotion des exportations (CEPEX) à Benghazi (Libye), suggère aux hommes d’affaires tunisiens d’explorer le marché de l’Est de la Libye qui a été marginalisé par l’ancien régime de Kadhafi. Selon le CEPEX c'est un débouché porteur pour les produits et services tunisiens. Dans cette perspective, il recommande la mise en place de la logistique requise pour permettre aux exportateurs tunisiens de vendre et d’opérer directement à Benghazi sans passer par Tripoli, invitant les privés tunisiens à investir dans le transport maritime entre les grandes villes tunisiennes et Benghazi et à intensifier l’exportation des services à haute valeur (services de santé, ingénierie…). Au final c'est un peu comme si il existait une région indépendante en Libye, et que les responsables de Benghazi prenne des décisions en invitant les entreprises a utilisé la voie maritime plutot que la route.
Les cadres des entreprises tunisiennes et des bureaux d’études ont intérêt également à perfectionner leur anglais, car a l'heure actuel les responsable sont ignorant dans la langue anglaise tant écrit que oral. Des sessions de formation pourrait être organisées si quelqu’un le juge utile en Tunisie ?
A l'heure actuel ont remarque que certains
entrepreneurs tunisien qui compte obtenir des marchés ne se déplace meme pas
sur les lieux en vue de sonder le terrain et d’effectuer les contacts d’usage
leurs permettant d’être près des donneurs d’ordre s'il veut obtenir un morceau
du gâteau. Beaucoup de visiteur ont aussi remarqué qu'il y avais plus de Turc en Libye que de tunisien, ca laisse plus d'un pantois !
Conclusion
Il est temps pour les Tunisiens de dépasser le stade des échanges commerciaux et la perception de la Libye comme un filon d’emplois pour eux. La conquête du marché libyen ne sera pas hélas à portée de main du premier venu. Cela s’annonce même comme une rude besogne ou seul le meilleur gagne. Moi meme j'avais des préjugé sur les dirigeant libyen, je pensais que tout étais acquis au premier venu qui prendrais contact, mais apparemment les libyen d'aujourd'hui ont bien changé et plus instruit que les anciens. Contrairement aux tunisiens, les libyens sont réalistes.
Pourquoi les tunisiens demandent-ils un traitement special ? Pour avoir exporté de la la farine, de l'eau, des oeufs ? Les libyens ont raison de dire: la Libye d'abord
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