Dossier
Attaque de l'ambassade américaine
Des centaines de manifestants barbus, des islamistes, djihadistes, sympathisants de Ansar Acharia, des moyens-ageux avec des drapeaux noirs c'était donné rendez-vous pour attaqué le 14 septembre 2012 l'ambassade américaine et l'école américaine à Tunis. En face deux , une armée de policier mal formé et en sous effectifs, accompagné des forces spéciales et des services spéciaux du palais de Carthage qui ne serve n’a rien et surtout des chefs de la police qui se sont révélée incompétents au final . Au final l'ambassade sera attaquée et l'école américaine sera en partie détruite, car la police n’a pris la mesure du danger du rassemblement de barbus qui voulait détruire l'ambassade ... Et surtout avec le recul, personne au ministère de l'Intérieur na fait sont auto critique et pris la mesure des responsabilités et des manquements sur le terrain.
Justice corrompue
En 2013, le pire arrive en matière de corruption judiciaire, c'est que les 20 meneurs qui ont pu être traduit devant le tribunal ont tous bénéficié de 20 mois sursis, un véritable camouflet pour les diplomates et la justice tunisienne en générale.
Cout final pour le budget de l'état
L'attaque coutera au final aux contribuables et à l'état 13 millions de dollars. En plus de l'argent, il faut donner un lot de terrain d’une superficie de 22.848 mètres carrés qui sera donnée à l'ambassade, alors qu'elle a toujours été locataire du terrain de l'état ! D’autre part, l’opération de transfert de propriété de l’École américaine est exonérée de tous les droits d’enregistrement et de taxe immobilière. De même les matériaux de construction utilisés dans les constructions érigées sur le terrain sont exonérés de la Taxe sur la valeur ajoutée (TVA) pendant 3 ans à compter de la date de la signature de l'accort imposé à l'état. Ce ce qui s'appelle mal négocier une sortie de crise, les grands gagnants sont les singes qui ont détruit pour rien en partie l'ambassade et l'école, et les perdants sont l"état et c'est contribuable.
La Tunisie devant les Tribunaux
La Tunisie est en procédure devant la CIRDI pour des dédommagements financiers. Dans certain dossier par exemple la banque franco-tunisienne BFT, celle-ci a été accaparée par des banquiers et une classe dirigeante politique sous la dictature de Ben ali. Mais la n'est pas le problème, le problème c'est que cette bande d'incompétents impunis sont toujours dans la place dans d'autres banques ou d'autres fonctions alors qu'ils sont responsables de la future condamnation du pays dans lequel la Tunisie est opposée aux propriétaires légitimes de l'ABCI et cela sans qu’aucune'une sanction administrative ou enquête puisse avoir lieu pour délimité la responsabilité des mafieux....
L'affaire ABCI via sa banque BFT pourrait coûter à la Tunisie 2 milliards de dollars au moins
Une banque créer par des investisseurs tunisien, et americains a été voler au profit de la mafia des hommes d'affaires et des banquiers liés au clan du mafieux dictateur Ben ali. Dans ce dossier il ne faut pas se voiler la face, des responsabilités et des responsables existent, et pourtant la justice semble scélorisé et incompétente pour traiter ce cas-là. Des entreprises liées au gang du dictateur Ben ali, des banquiers, des financiers, des auditeurs, des comptables ont trempé dans la magouille de la banque publique STB pour financé la mafia tunisienne et les entreprises qui elles lui sont liées. L'état, les représentants du premier ministre, du ministre des Finances, de la Banque centrale, de la STB et de la BFT, tous savent ou sont parti les millions et dans la poche de qui surtout.
On peut dès lors s'interroger de savoir où est parti cet argent ? Dans quel poche complice sous quelle forme ? Au profit de qui ? Des noms on en aura jamais ! Certains hommes d'affaires qui ont bénéficié de financement ont construit de véritables empires industriels sur le compte de l'état, et cela impunément sur la corruption au sein de la STB et de la BFT ni plus ni moins pendant des décennies. Tout cet argent déversé dans les poches des mafieux n'a jamais été remboursé. Aujourd'hui le pays est obligé de réalisé des emprunts financiers sur les marchés étrangers pour renflouer la et les banques par ce que des hommes d'affaires se sont enrichis grâce aux complicités internes de l'état tunisien.
Ce sera l'état et les contribuables qui payeront une deuxième fois l'adition via leurs impôts et cela pendant des années. En somme après la révolution, nous allons continuer a financé des profiteurs du système de Ben ali sur le dos des contribuables. Et tout ce beau monde profite du soleil et de leurs entreprises le plus simplement du monde, ils n'ont jamais été inquiétés et n"n’ont jamais eu de compte a rendre devant la justice.
La décision du Cirdi sur la responsabilité dans cette affaire doit intervenir fin janvier 2016. Ensuite le tribunal arbitral rendra sa décision sur le montant de la compensation financière probablement avant l’été 2016
La Tunisie condamnée pour la 1ère fois devant le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (Cirdi).
Cette condamnation entre dans le cadre d’un litige fiscal l’opposant à un investisseur étranger. Là aussi l'investisseur qui voulait faire de l'exploration s’est retrouvé devant une administration corrompue qui a changé les règles du jeu. Lundin a acheté le champ pétrolier à la Coparex International BV en 2002. En Tunisie, Lundin Petroleum exploite également les concessions Zelfa, Oudna et Birsa large du nord de la Tunisie. Lundun explorait le champ pétrolier Isis de 6000 mètres carrés sur la cote, des accords ont été passés avec Lundin pour ne pas être imposés sur les investissements,. Mais bizarrement une fois les travaux et le début des investissements réalisés, l'administration tunisienne commence à frapper aux portefeuilles de Lundin alors qu'il était convenu que les frais de recherche et le matériel devant être supporté par l'ETAP et la compagnie a 50/50. Et là encore une fois, une autre compagnie prend la place de Lundin Petroleum et cette fois-ci l'administration ne frappe pas aux portefeuilles ... Curieux, il y a comme de la corruption dans l'air, mais au profit de qui ? Cout total pour la collectivité et l'état sans enquête et ni inculpation des fonctionnaires et des cabinets ministériels +- 10 millions de dollars.
Le tribunal arbitral, relevant de la Banque mondiale a fait connaitre fin décembre 2015, ça sentence dans l’affaire Lundin Petroleum contre la Tunisie en condamnant cette dernière à verser 10 millions de dollars à la compagnie pétrolière suédoise.
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