Manquement dans le contrôle qualité
Le reportage télé diffusé en mars est révélateur sur le delitement de l'etat sur l'économie du pays
Souvenez-vous, c'était en mars 2016 sur une chaine italienne Ballaro en Italie. Suite à l'augmentation des quotas d'importation dans l'UE, la chaine italienne diffusait un reportage sur des producteurs d'huile d'olive et leurs environnements de travail. Dans le premier exemple, tout est contrôlé, les installations étaient aux normes, l'ouvrier expliquait en quoi consistait le travail de l'usine devant la caméra italienne. Jusque-là tout va bien, les choses vont se gâter par la suite
Souvenez-vous, c'était en mars 2016 sur une chaine italienne Ballaro en Italie. Suite à l'augmentation des quotas d'importation dans l'UE, la chaine italienne diffusait un reportage sur des producteurs d'huile d'olive et leurs environnements de travail. Dans le premier exemple, tout est contrôlé, les installations étaient aux normes, l'ouvrier expliquait en quoi consistait le travail de l'usine devant la caméra italienne. Jusque-là tout va bien, les choses vont se gâter par la suite
Dans le deuxième cas qui est plus problématique, l'usine appartient a un petit producteur de Zaghouan qui ne respectait pas les normes d'hygiène, rigolait quand ont lui demandait si les contrôles étaient existants. Sa production se passait dans un garage automobile et celui-ci expliquait en coeur qu'il exportait son huile sur les marchés extérieurs! Bref toutes les images étaient tellement crades que le téléspectateur avait compris qu’en 2016 n'importe quel singe pouvait produire tout et n'importe quoi en Tunisie sans respecter les normes. Parfois les images sont plus fortes que les mots, c'est ce qui sait passer dans ce cas là. Au final on a vu un producteur produire de l'huile d'olive dans la saleté et les déchets.
La responsabilité du ministère du commerce et de l'agriculture
Les 2 ministères seront aux abonnés absents comme de coutume, celui-ci se tait et ne prendra aucune mesure pour contrôler le secteur des producteurs d'huile d'olive. Qu'en conclure ? Le ministère ne fera jamais de déclaration pour défendre les bons oléiculteurs des fauteurs de troubles qui ternissent l'image de la profession. Le ministère ne consultera point, car il ne sait pas comment communiqué sur ce genre d'évènement et ne prendra aucune mesure avec le syndicat des producteurs d'huile d'olive, et ni avec la chambre de commerce UTICA ! Tous ses syndicat et responsable du gouvernement sont aux abonnés absents
Conclusion
Si un jour l'envie de vous prend pour mettre en échec l'économie tunisienne et de créer une petite guerre de l'image avec votre caméra, vous pouvez venir filmé les producteurs de quelque secteur que ce soit et montré la face cachée de la profession et diffusé les images en Europe. Vous ne trouverés personne aux gouvernement pour vous contredire de quelque manière que ce soit. Notre gouvernement semble vivre aux 18 eme siècles dans un monde sans image, il est complètement dépassé par l'économie de marché et semblent ignorer que la guerre des images peut servir les intérêts des pays étrangers. Pourtant il en va de l'économie du pays et de sont exportation qui lui rapporte des devises étrangères en c'est temps de crise économique. Et que dire encore que pendant ce temps, certains continuent leurs activités dans l'illégalité la plus totale.
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