Nomination politique
En l'état actuel des choses, il n'y a pas de directeur puisque depuis le départ de l'islamiste Rachid Ben Dali pour la STEG au début du mois de novembre 2013, la direction générale de l’Energie est restée sans PDG.
Et tous aussi bizarrement que cela puisse etre, plusieurs autres sociétés du secteur de l’énergie vivent la même situation, à savoir par exemple la Société italo-tunisienne d’Exploitation Pétrolières (SITEP), la société Numide, (entreprise mixte de droit privé créée en 2003 en partenariat entre l'Entreprise Tunisienne d'activités pétrolières (ETAP) et la SONATRACH), qui n’ont pas de président directeur général a leurs tête pour les géré depuis de longs mois.
Cette situation surprenante laisse à douté sur les raisons qui bloquent la nomination des PDG à la tête de la direction générale de l’Energie et des importantes sociétés pétrolières.
Introduction
Avant de vous présenté les chiffres du gouvernement et des représentant des entreprises publique du secteur, les versions varie d'un interlocuteur a un autre ! Il faut savoir que l'état tunisien ne maitrise pas les chiffres du secteur du pétrole. Ceux qui contrôle les puits sont les compagnies étrangère et ceux qui font la loi dans le secteur sont les réseaux mafieux au sein de plusieurs administration publique de connivence avec le monde politique. L'état se contente juste une approximation sur ce que ont lui laisse bien voir le cas échéant.
Les chiffres présenté sur les réserve de pétrole en Tunisie qui sont estimé a 460 millions de barils sous terre. Dans une intervieuw accordé a l'agence de presse tunisienne, le responsable de la prospection et de la production des hydrocarbures à la direction général de l'énergie, Monsieur Ridha Bouzouada, nous présente donc sont les faits suivant :
La production annuel de la Tunisie est de 65 milles barils par jours, ce qui sur une année reviens a 27 millions de barils de pétrole. (Pas mal pour un pays qui se dit quand même en déficit d'énergie.)
Pétrole en 2013
Au mois d'octobre 2013, la production nationale de pétrole brut en Tunisie aurait atteint 18,71 millions de barils, soit une baisse de 7,2% par rapport à la même même année en 2012, et cela malgré une augmentation de la production des champs Asdrubal au large de Sfax, Baraka dans le Golfe de Hammamet et Amani à Tataouine.
Bon a savoir : malgré la poursuite des activités de prospection et d'exploration, les nouvelles découvertes sont d'un volume réduit et ne couvrent pas la régression naturelle de la production dans les grands champs pétrolifères.
La Tunisie a aussi connu une baisse de la production de pétrole au cours des 5 dernières années de 31,7 millions de barils en 2008, à 18,71 millions de barils en 2013. Cela est du aux régressions naturelle de la production des 3 grands champs de "Borma" à Tataouine et "Ashtar" dans le Golfe de Gabès et aussi aux travaux de maintenance, de contrôle, de mouvements sociaux, qui serait donc des facteurs de baisse de la production du pétrole cet année la apparemment.
81 milliards m3 de gaz exploitable
Les quantités de gaz restantes et qui sont encore exploitables sont estimées à environ 81 milliards m3. Ces quantités pourrait être exploitées sur une période de 20 ans, avec une moyenne de 3,6 milliards de m3 par an.
La production nationale de gaz a atteint jusqu'au mois d'octobre 2013, 2,41 milliards m3 contre 2,35 milliards m3 durant la même période en 2012, soit une augmentation de 6%. Cette évolution résulte de l'augmentation de la production des champs "Asdrubal" au large de Sfax et "Adam" à Tatouine.
D'après les données disponibles actuellement, il y aurait 45 permis qui sont actuellement en vigueur et 52 concessions d'exploitation ont été accordées à 60 sociétés, dont 4 seulement tunisiennes et le reste sont soit des sociétés étrangères ou mixtes.
300 millions de dollars d'investissement
Il y aurait en Tunisie des investissements déclaré de l'ordre de 300 millions de dollars qui devrais être consacrés à la prospection en 2014. En 2014, seront programmés 15 puits d'exploration et 14 de développement, en outre une exploration sismique bi-dimensionnelle portant sur 2 mille km2 et tridimensionnelle sur 1.500 km2.
De janvier à octobre 2013, les opérations prospection sismique (tridimensionnelle) avaient porté sur 3.136 km2 et celles bi-dimensionnelles sur 2.785 km2, en 2012. De même, 23 puits ont été forés dont 13 de prospection et 11 de développement.
Les failles du code des hydrocarbures
Le code des hydrocarbures a été modifié en 2002, 2004 et 2008 pour soit disant s'adapter à la conjoncture économique et énergétique de l'époque. Toutefois en 2013, son application a révèle que certains de ses articles peuvent être interprétés de différentes manière et à sa façon lors de la découverte d'hydrocarbures dans des gisements non conventionnels. Suite a cela, le ministère de l'industrie Mehdi Jomaa compte consulté plusieurs experts sur la possibilité d'amender certains articles pour rendre ce code plus précis et y introduire un chapitre qui concerne les énergies non conventionnelles et leurs modes d'exploitation.
Evaluation des réserves pétrolières tunisiennes à 838 millions de barils
M. Mohamed AKROUT, PDG de l’Entreprise Tunisienne d’Activités Pétrolières (ETAP)
a estimé le total des réserves pétrolières de la Tunisie est attestées à environ 838 millions de
barils dont 51% de pétrole et 49% de gaz. En 2013, 15 puits ont été forés contre 11 en 2012 et
11 en 2011.
Des prospections sismiques à grande échelle ont été menées afin de planifier un
programme d’exploration et de développement à moyen terme.
La Tunisie dispose de 32 blocs libres à bon potentiel ; M. AKROUT prévoit en 2014 le développement de la concession Nawara (Sud) ainsi que la finalisation des contrats d’approvisionnement et de construction.
Selon un communiqué de la CPG, la quantité de phosphates produite et commercialisée en
2013 jusqu’au 19 septembre s’élève à 2780 millions de tonnes contre 2327 millions de tonnes
sur la même période en 2012 (+ 20%).
Les deux principaux sites de production sont Metlaoui et Medhilla, tandis que Redeyef est
resté très faible et Oum Larayès nul. Les réserves actuelles en phosphates sont de 3750
millions de tonnes contre 3271 millions de tonnes au début 2013.
Les pertes de la CPG pour 2011 et 2012 sont de l’ordre de 200 M TND, et les difficultés
de la compagnie sont liées à sa restructuration et aux tensions sociales.
Les chiffres l’Entreprise Tunisienne d’Activités Pétrolières (ETAP)
Evaluation des réserves pétrolières tunisiennes à 838 millions de barils
M. Mohamed AKROUT, PDG de l’Entreprise Tunisienne d’Activités Pétrolières (ETAP)
a estimé le total des réserves pétrolières de la Tunisie est attestées à environ 838 millions de
barils dont 51% de pétrole et 49% de gaz. En 2013, 15 puits ont été forés contre 11 en 2012 et
11 en 2011.
Des prospections sismiques à grande échelle ont été menées afin de planifier un
programme d’exploration et de développement à moyen terme.
La Tunisie dispose de 32 blocs libres à bon potentiel ; M. AKROUT prévoit en 2014 le développement de la concession Nawara (Sud) ainsi que la finalisation des contrats d’approvisionnement et de construction.
Hausse de la production de la Compagnie des phosphates de Gafsa (CPG)
Selon un communiqué de la CPG, la quantité de phosphates produite et commercialisée en
2013 jusqu’au 19 septembre s’élève à 2780 millions de tonnes contre 2327 millions de tonnes
sur la même période en 2012 (+ 20%).
Les deux principaux sites de production sont Metlaoui et Medhilla, tandis que Redeyef est
resté très faible et Oum Larayès nul. Les réserves actuelles en phosphates sont de 3750
millions de tonnes contre 3271 millions de tonnes au début 2013.
Les pertes de la CPG pour 2011 et 2012 sont de l’ordre de 200 M TND, et les difficultés
de la compagnie sont liées à sa restructuration et aux tensions sociales.
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