lundi 26 mars 2012

L'expertise des européens en Tunisie

Depuis quelque temps en Tunisie ont assiste de la part des entreprises européenne d'une aide, faute de compétence

Le danois MAERSK pour mettre à niveau le Port de Radès


Le premier port de marchandise en Tunisie

Au cours d'une rencontre qui a eu lieu entre M. Karim Harouni au mois de fevrier 2012, le ministre du Transport et l'ambassadeur du Danemark à Tunis, Lars Vissing a exprimé la volonté de son pays d'apporter son soutien à la Tunisie pour promouvoir les services de transport maritime, la logistique et la gestion des ports en général.

Le diplomate danois a proposé aux Tunisiens l'aide de la compagnie danoise MAERSK, pour la réduction des délais d'accostage des navires au port commercial de Rades et pour le développement de ses activités.
Radès abrite le premier port de commerce du pays dont l'essor remonte à 1987 et qui a connu un développement fulgurant, captant à son profit l'activité du port de Tunis puis celle du port de La Goulette. Il se spécialise dans le trafic de conteneurs (700 000 EVP par an) et le trans-roulage alors que se développe dans sa proximité immédiate une importante zone industrialo-portuaire.

Depuis maintenant plus d'un an le port est géré comme une épicerie de seconde zone. Il y a une congestion des marchandises et le niveau de productivité est digne des républiques bananière. Je me souvient même bien que le ministre était même venu au port en 2011, pour comprendre sur place pourquoi le port de Rades fonctionne pas a sa vitesse normale.

Comme il existe une solution, l'entreprise Maersk est venu en Tunisie apporté sont savoir faire pour régler les problèmes que nous ne savons pas réglé nous même seul. Mais apparemment Maersk ignore que le cerveau des tunisiens fonctionne autrement. Ce sont les dockers qui font la loi dans le port, alors expertise ou non, tout cela dépendra du personnel manutentionnaire ....
Il est aussi bon de rappelé que les agents dockers du port commercial de Rades entame des grèves quand il le veulent, paralysant ainsi toute l'activité au port et cela en contravention de la loi sur les gréves ...

La situation actuel au port de Rades empire dans l’indifférence totale des autorités portuaires, du ministère du Transport et comble des journalistes. En moyenne, les bateaux attendent 15 à 20 jours en rade avant que la Stam ne daigne de les décharger». il y a une très mauvaise gestion du port et la Tunisie est en train de perdre beaucoup d'argent apparemment.

Est ce que vous savez que le prix final de l incompétence du gouvernement, c est le citoyen qui le paye, les surcharges que les lignes maritimes imposent aux importateurs sont répercutés sur le consommateur final tunisien ...
Les surcharges que les lignes maritimes imposent sur nos export font des produits tunisiens pas avantageux par rapport a la concurrence ...
Est ce que vous connaissez des ports au monde où un navire reste 15 jours à la rade et 10 jours au quai !!! Même au moyen âge les navires faisaient mieux!
Au final ont pourrait dire la vérité: que les tunisiens ne savent pas géré leurs propre port de marchandise
Viendrait-il un jour où les tunisiens serons des hommes à la hauteur de mener des projets pour le bien de leur propre pays?


Magasin général qui est un peu l’équivalent de Carrefour en Tunisie, mais sans les cerveaux

Une publicité pour des oranges chez Magasin général ?

Un partenariat a donc vu le jour entre la société Magasin général et le groupe Auchan pour une prise de participation dans le capital de Magasin général a hauteur de 10 %, avec le temps elle pourrait acquérir peut être jusque 25% dans le cadre de la loi.

Dans le cadre de la communication financière de la société tunisienne du 13 mars,  le Pdg a declaré que: «C’est le fruit d’une relation de confiance, tissée tout au long de plusieurs années entre le groupe Poulina et le groupe Bayahi qui a donné suite à ce nouveau partenariat», souligne Tahar Bayahi, PDG de la société Magasin Général. Le PDG de la société n’a pas manqué de préciser qu’il a fallu trois ans de négociations pour convaincre le groupe Auchan d'investir en Tunisie!

Le groupe, qui englobe les deux enseignes Magasin Général et Promogro et qui est contrôlé par la société Med Invest, réalise aujourd’hui un chiffre d’affaires consolidé de +- 500 millions de dinars.

L'ouverture de capital prévoit dans le cadre de l'accord:
- une assistance technique pour l’ensemble des métiers de la grande distribution,
- une prise de participation initiale de 10% par ISMS, holding du métier supermarchés de groupe Auchan dans le capital de la société Magasin Général,
- une démarche commune sur la Libye devant permettre une implantation en Libye, c-à-d dès que les conditions le permettront.
Le plus grand apport pour Magasin Général c'est biensur l’engagement pris par l’enseigne française de former l’ensemble des ses collaborateurs, soit en les accueillant pour des stages en France, soit en Tunisie.

Détenant 61 points de vente de surfaces, la chaîne surclasse la concurrence par sa couverture géographique (22 gouvernorats sur 24), sans être plus compétitive et sans toutefois gagner plus d'argent que les concurrents ! A l'université en Europe ont en rigolera longtemps, si ce cas de figure était soumis a une étude.
Ce partenariat prévoit donc un important apport en savoir-faire pour le groupe Magasin Général. Les enseignes Magro bénéficieront aussi de l'assistance en matière de formation, marketing, contrôle de gestion…

M. Saudo a également précisé que l’ambition de son groupe est d’aider Magasin Général à se développer en Tunisie avec succès et mettre à la disposition des équipes du groupe de distribution tunisienl son savoir-faire, et ce sous forme de passation de services ou d’aides à la formation. «On prévoit d’accueillir en France des cadres et envoyer des moniteurs formateurs en Tunisie pour accompagner les équipes dans le domaine de marketing, de contrôle de gestion, de la technique de développement …», ajoute-t-il.

Si ont va plus loin et que l'ont se pose des question intelligente, ont peut des lors se demandé si l'entreprise Magasin général n'est pas géré comme une épicerie de quartier. Qu'est ce qu'il fabrique en Tunisie dans les université pour ne pas qu'ont engage des jeunes diplomé ? Et ceux qui travaille pour magasin général, sont il tous incompétent comme ceux qui les ont formé ?

Au delà des questions nombreuse que je soulève, j'en déduit que le personnel engagé n'est pas capable de managé un groupe de supermarché, et que des lors tous ceux qui travaille actuellement sont des incompétent et qu'ils ont été engagé par filiation parenté ou bien par le copinage tribale. Ceci reflète une image fidèle de mon pays que je me suis toujours dit: "que le pays est géré par des incapables".


mercredi 14 mars 2012

Guide de l'Intelligence Economique à destination de la recherche

Ce mercredi, la Délégation interministérielle à l'intelligence économique en France a publié un guide pratique d'intelligence économique à destination des organismes de rechercher et chercheurs.

Ce guide de 58 pages présente les différentes bonnes mesures afin de protéger les innovations mais également de favoriser la créativité.

Il est construit en 5 grandes fiches :

Veille stratégique, Gestion du patrimoine immatériel, Politique de sécurité des systèmes d'information, Développement de l'interface entre recherche publique et contexte économique et Politique internationale.

Chaque fiche rappelle l'état des lieux puis les outils mis à disposition, les contacts et enfin une section recommandations.

Le guide à l’adresse suivante sur mon compte dropbox :
http://dl.dropbox.com/u/68576017/guide-intelligence-economique.pdf

Sur Slideshare: http://www.slideshare.net/tunis2/guide-de-lintelligence-economique-pour-la-recherche





La mise en place d'une stratégie d'intelligence économique concerne bien entendu les grands groupes industriels, les PME-PMI-TPE, ainsi que l'état et le domaine public, notamment via la politique publique d'intelligence économique. Et par conséquence la structuration d'une offre de formation ou simplement de sensibilisation des étudiants est nécessaire pour donner accès à ces entités à des esprits jeunes et bien formés aux défis d'une société de l'information et de la culture numérique.