mardi 31 décembre 2013

Serinus Energy

Pétrole Tunisie

Description du projet

Le projet prévoit le financement du développement de quatre champs pétroliers et gaziers en Tunisie (Sabria, Chouech Essaida, Ech Chouechand et Sanrahr) entre 2013 et 2017 pour kulczykoil. Il financera un programme de forage continu sur plusieurs années, notamment la stimulation des puits existants et le forage de nouveaux puits de production, garantissant la disponibilité de plateformes de forage et de maintenance dédiées. L’objectif est d’augmenter sensiblement la production et de consolider la position de l’entreprise parmi les principaux intervenants dans le secteur pétrolier et gazier en Tunisie.


Impact sur la transition

Le projet a le potentiel nécessaire pour générer un impact positif sur la transition :
(i) il soutient la poursuite du développement d’une petite société privée indépendante en Tunisie, où l’entreprise publique domine encore la production d’hydrocarbures ;
(ii) il devrait produire un effet de démonstration en générant des gains importants en termes d’efficacité opérationnelle et de productivité ;

(iii) le nouveau propriétaire et exploitant transfèrera ses compétences et son savoir-
faire (notamment géologiques et opérationnels) ;
(iv) des critères plus rigoureux seront établis sur les plans social, environnemental, de santé et de sécurité, de même que des pratiques plus exigeantes de gouvernance, l’entreprise devant se conformer au principe « Publiez ce que vous payez ».


Le client Serinus Energy Inc (« Serinus » ou « la Société »), société pétrolière et gazière de taille moyenne, devrait être constituée en vertu des lois de la province de l’Alberta, au Canada.
Serinus sera l’entité résultant de la réorganisation de Kulczyk Oil Ventures Inc (« KOV ») une fois que celle-ci aura achevé son acquisition de Winstar Resources Limited (« Winstar »), société canadienne détenant en Tunisie les actifs devant être financés par le projet.

Financement par la BERD

Un financement à long terme accordé à Serinus, atteignant jusqu’à 60 millions de dollars EU (taux d'emprunt 6%), la somme devant spécifiquement servir à développer les champs pétroliers et gaziers tunisiens de la Société.
Coût du projetLe coût total attendu pour le développement des champs pétroliers et gaziers tunisiens de la Société sur une période s’étendant jusqu’à 2017 est de 166 millions de dollars EU.


Impact sur l’environnement

Des consultants indépendants réalisent actuellement les vérifications d’usage dans les domaines environnementaux et sociaux. À ce jour, ces vérifications ont permis de constater qu’au niveau de la société KOV, le Directeur de l’exploitation (qui est chargé de tous les aspects techniques et opérationnels) a actuellement la responsabilité globale des questions environnementales ; tandis que la gestion des questions locales liées à l’environnement, au développement social, à la santé et à la sécurité relève de la responsabilité des équipes présentes dans le pays.

Les nouveaux actifs devant faire l’objet de l’acquisition en Tunisie témoignent d’une excellente gestion de la santé et de la sécurité au travail. Les procédures exigées en la matière sont en place et la formation nécessaire est fournie au personnel. La direction de l’exploitation et le personnel sur le terrain sont très compétents et très conscients des mesures requises en matière de santé et de sécurité. Sur le site en Tunisie ont eu lieu récemment plusieurs grèves de membres du personnel représentant les populations locales et des discussions sont en cours entre la direction de Winstar et les syndicats défendant les intérêts des salariés en grève. Tandis que la direction prend les dispositions adéquates en consultant des avocats spécialisés dans le droit du travail et en faisant appel à des consultants internationaux pour aligner les salaires sur ceux du secteur pétrolier, la Société devra formaliser les procédures de recrutement et prévoir des descriptions claires de catégories de postes pour éviter tout conflit à l’avenir. 

Le projet est par ailleurs opportun compte tenu du taux élevé de chômage actuellement et des fortes attentes des populations locales vis-à-vis du secteur pétrolier en Tunisie. La faune et la flore ne devraient pas subir d’impact significatif. Un certain nombre d’améliorations sont nécessaires concernant le traitement et le recyclage des boues de forage, l’évacuation de l’eau produite et l’utilisation économe des ressources hydriques. Les mécanismes de planification des mesures d’urgence devront être examinés de façon critique pour tenir compte des risques potentiels d’agitation sociale et de terrorisme. 

La communication avec les parties prenantes, dont se chargeaient auparavant les gouvernorats locaux, devra être étendue pour donner plus d’éclaircissements sur les répercussions et les avantages potentiels des activités de la Société. Un projet de Plan d’action social et environnemental, prévoyant des mesures d’atténuation des impacts identifiés, a été élaboré et devra être validé avant l’examen définitif.

Coopération technique

Aucune.

dimanche 22 décembre 2013

Incompétence gouvernementale

Notation Tunisie


Qu'est ce qui motive un gouvernement à demandé le retrait de son rating auprès d'une agence de notation? That's the question. Et bien la réponse tien en un seul point, ce sont les mauvais résultat financier et sont bilan économique qui est du même niveau que les républiques bananière en Afrique. Pour les retardataire qui l'ignore, le gouvernement le plus incompétent de la Tunisie à l'heure actuel, aurait demandé à l'agence de notation Standard and Poor's de ne plus noté notre pays qui est signalé comme un pays classé à risque dans le future. C'est une première au monde. Même les plus pire dictature au monde n'ont jamais osé demander ca.
Si le gouvernement pense que cela va changé quelque chose, il se trompe. Toute les agences et leurs employés parle entre elle et ce communique des données, un incident ou un retrait avec l'une d'elles, aura des répercussions sur les autres agence et aucun retrait aupres de SP changera cet état de fait. Du bilan économique actuel et pour pouvoir se financer sur les marché, notre pays ne peut plus emprunté un rond aupres des institutions étrangere du a l'incompétence et au flambi qui vive au dessus de leurs moyen au bled. Le pays est en arrivé a mendier aupres des Etats-unis ou bien du Japon pour qu'ils se porte garant pour emprunté de l'argent auprès du marché. A bon entendeur

Le gouvernement et la BCT invoque des problèmes 


Vu l'effet mauvais et le résultat désastreux de l'économie tunisienne depuis la mise en place du gouvernement apres la révolution de 2011 et en particulier en ce qui concerne le financement auprès des sources exterieur au marché, la BCT (banque centrale tunisienne) à demandé à SP de ne plus noté l'économie du pays. La BCT estime que deux ou trois agences de notation sont suffisante pour la note souveraine du pays, soit une américaine et une européenne.

Cerise sur le gâteau la Banque Centrale de Tunisie a indiqué que la réduction du nombre des agences qui évaluent le risque souverain de la Tunisie, permettra d’ assurer une répartition rationnelle des relations entretenues par la BCT avec les agences en fonction de leur implantation géographique ». En d'autre terme et sans langue bois, la BCT estime que demander 150.000 dollars pour une notation coute trop chere au pays .... (Fou rire garanti)

Le bulletin économique


MOODY’S Ba3 : perspectives négatives
Fitch Rating BB- : perspectives négatives
S&P B: perspectives négatives
R&I BBB : perspectives négatives


Note souveraineTunisie
Le rating de la Tunisie n'existe plus chez S&P