mardi 23 juillet 2013

Business is business entre les islamistes et Microsoft en Tunisie

Informatique: Un gros contrat en dollars pour Microsoft 


Steve Ballmer et le dictateur Ben ali
A l'epoque, Microsoft (Steve Balmer, PDG microsoft) signait avec le gouvernement un contrat cadre pour surveillé les citoyens tunisien en ligne. Le deal était de payer les licences plus cher en échange de certificats contrefaits. Aujourd'hui les islamistes ont la mémoire courte et aurait put changer les choses pour développé et modernisé les logiciels en fessant appel aux ingenieurs informatique pour installé les logiciel libre dans les parcs informatique de l'administration publique en Tunisie, au lieu de ca les islamistes d'Ennahda prefere continué a payer pour être dépendant de Microsoft.

En Tunisie, ont forme des ingenieurs informatique dans les université, ont nous parle du secteur et de sa place au pays. Mais dans les faits il en n'est rien en terme de valeur ajouté pour le pays, tout cela ne profite pas au pays quand ont fait appel aux etrangers, alors que ont peut le faire nous meme en creant des emplois.
Partout en Europe et ailleurs dans le monde ont fait appel aux logiciels libre pour les administrations publique et la police. C'est logiciel sont gratuit pour tous et sont développé par des contributeur benevole dans le monde entier. Voila que maintenant notre gouvernement islamiste d'Ennahda annonce tout de go qu'elle va signé un contrat qui sera payé en dollars avec microsoft pour mettre les logiciel a jours de l'administration publique et par l'occasion de signé de nouvelle licence auprès de Microsoft.
Le tout sera évidemment payer en dollars alors que l'entreprise existe en Tunisie, celle ci exigera des pepettes manu militari comme par le passé ...

A cet effet une réunion ministérielles sait tenue fin juin au palais du gouvernement à la Kasbah, la discussion a eu pour theme de signé un partenariat global avec Microsoft. Sous le terme de partenariat global ont peut imaginé que l'etat va payer aussi pour du materiel auprès Microsoft .... Et évidemment le tout sans appel d'offre, alors que la concurrence existe !

Grâce à ce partenariat global, les programmes en informatiques seront payant pour l'administration publique tunisienne. Le ministères de l'Education, de l'Enseignement supérieur, de la Formation professionnelle et de l'Emploi, tous c'est logiciel seront fournis par Microsoft, ainsi que des logiciels à même de développer le secteur des TIC en Tunisie. Alors que ont sait tous que en Tunisie la contrefaçon de logiciel sont roi et que les tribunaux ferme les yeux sur le sujet ... Ont peut se demandé pourquoi payer quelque chose, alors que le pays entier a fait du piratage sont leitmotiv ....

Business is business


Depuis le 14 janvier, Microsoft a obtenu plusieurs fois l’informatisation de plusieurs structures nées après la révolution en Tunisie, et il serait d’une naïveté stupéfiante de s’imaginer que Microsoft soit devenue du jour au lendemain honnête et philanthrope. Par le passé ont a déjà constaté une surévaluation du prix des licences vendues au gouvernement Tunisien. Quand aux gouvernement il ignore a quel sauce il va devoir banquer pour Microsoft aujourd'hui.
En tout cas si quelqu'un au parlement pouvait publier le contrat et le protocole d'accord entre Microsoft et l'état tunisien, tout le monde crierais aux scandales encore une fois. Donc pas sur que les islamistes incompétent d'Ennhada face preuve d'honnêteté vis a vis du peuple et du parlement ...


lundi 22 juillet 2013

Entreprise publique en Tunisie

STIP: 130 millions de dinars de perte pour l'entreprise publique au total


Le ministre de l'industrie Jomaa visite l'usine de la STIP qu'il finance avec le budget de l'état 


Ont parle encore de la STIP (Société tunisienne des industries pneumatiques) , il est cet fois ci question d'une entreprise publique qui beneficie du monopole de la vente de pneu sur certaine reference de dimension en Tunisie.

L'entreprise connait de graves problèmes car elle ne fonctionne que a 50 % de c'est capacité de production aujourd'hui. Les ventes de la Société tunisienne des industries pneumatiques (STIP) ont régressé aussi bien sur le marché local (Tunisie) et international..


Le marché en Tunisie est tenu par des commerçant illégaux et des bandits


Le commerce de la contrebande et la vente parallèle des pneus figure parmi les principales entraves à l'activité de la société. Les frontières ne sont plus surveillé en Tunisie depuis la révolution, la corruption de la douane tunisienne coute des milliards aux budgets de l'etat, la corruption au sein de la police n'est pas un sujet de préoccupation pour le gouvernement et la justice n'est toujours pas réformé et puis ont a aussi le probleme des acteurs du controle des commerces qui sont tout autant corrompus que responsable. En combinant c'est 4 la, vous obtenez l'anarchie sur le marché. Ce qui laisse un boulevard aux bandits et autre contrebandier pour importé a travers les frontières tunisienne leurs pneus a l'étranger pour les vendre en Tunisie en toute légalité vu que tout le monde s'enfou. Et puis il y aussi Le problème du commerce parallèle qui fait que le pneu STIP est exporté hors taxes est réimporté hors taxe et racheté par le client tunisien à un prix inférieur à celui facturé par la STIP ...

L'état vas t-il dressé et prendre des mesures pour mettre fin a l'anarchie du marché du pneu en Tunisie ? Personnellement je le pense pas, il n'a ni les ressources humaines et ni les capacité de le faire. Car le seul responsable de la perte de compétitivité de l'entreprise, c'est l'etat, ce meme état qui verse des cheques en blanc années apres années sur le budget de l'etat pour épongé un déficit qui gonfle a vu d'oeil mois apres mois.

Depuis 2010 l'Etat possede 51 à 59% des titres, le restant a été vendu a des investisseur privé, ainsi 30% appartient a des privés étrangers et 18,41% sous forme d'autres participations privées.
Au vu des resultats financier aujourd'hui ont peut dire que l'état a fait une tres bonnes affaires en fourguant une entreprises déficitaires et qui rapporte pas un rond au pays depuis des années. Au final c'est encore une bombe a retardement qui va encore couté plus chere a la collectivité dans le future ....

commerce parallele de pneu
Un commercant vend a Jemmal des Pneau importé de l'etranger sans facture d'achat et ni de vente sur la voie publique. Photo prise en juin 2013

mercredi 17 juillet 2013

Poulina Group Holding

Les Data center pousse comme des champignons en Tunisie, mais ne trouve pas prenneur ...




Data center Poulina Group Holding


Lors de la rencontre de la semaine dernière entre le Medef francais et la tunisienne Utica, un accord a été signé entre Poulina Group Holding, Schneider Electric et SBF, pour la construction d'un data center de 1.200 m2 en Tunisie. Alors que l'offre existe sur le marché tunisien, PGH prefere construire un nouveau data center.

L’étude technique a été confié a une filiale du Groupe Schneider, la construction et la réalisation seront confiées à la société tunisienne Bouzguenda Frères.

Le projet comporte plusieurs phases. La 1 ere phase concerne que 300 mètres carrés. Ce nouveau Data Center sera situé dans la localité de l’Ogba, à 40 Km de Tunis et sera opérationnel en 2015.
Je rappel aux lecteur du blogue qu’en Tunisie les Data Center publics et privés pousse et se multiplient comme des petits champignon. Mais qu'apparemment les entreprises tunisienne ne trouve pas de client sur leurs propre sol ...
Alors soit nos fournisseurs de solutions coute trop chère en hébergement ou alors soit que les entreprises tunisienne de Cloud computing ne reponde pas aux cahiers des charges des clients (inexperience, risque, programme, sécurité, confiance ?) ... En tout cas dans leurs strategies de conquête des marchés national et etranger, les fournisseurs tunisien de solution sont aux abonnées absent. Ca sera tout benefice pour les concurrents étranger tels que Microsoft, HP qui doivent se tordre de rire ....


Le coût d’un Data Center s’élève entre 2 à 10 millions de dinars tunisiens



Dans cet ordre d’idées, ont ne comprend evidemment pas cette multiplication des projets Data Center en Tunisie, alors même que certains restent vides aujourd'hui. En tous cas c’est un vrai gâchis pour le budget TIC et une débauche d’énergie, au moment même ou la mutualisation pourrais répondre a un besoin efficace en energie».

Dans cet course course effrénée de construction de data centers, je me demande s’il y a réellement un pilote au gouvernement pour les technologie en Tunisie, ou bien si chacun fait à sa tête dans sont coin dans les secteur public.

La liste des différents data centers Tunisie 


- CNI Bizerte
- Finances + Armée (Fondouk Jedid)
- BCT et Sibtel (Kairouan)
- CNSS (Sousse)
- CNAM (Kairouan)
- BIAT (Jedaida)
- TT (3 Data Centers, Tunisie télécom)
- Ministère de l’Enseignement supérieur (HPC avec les Chinois)
- Mennix ( le plus grand fournisseur privé en Tunisie est vide et n'a pas de client)
- Topnet
- 3S Global Net
- Axelaris


vendredi 12 juillet 2013

Ministère du tourisme ou des touristes ?

MESSAGE DU MINISTRE AU PERSONNEL DU MINISTERE DU TOURISME

En Tunisie la langue de bois s'utilise a tout bout de refrain a la television comme au bureau. Alors que la saison touristique est en baisse et que les prix sont bradé dans les hotels en Tunisie, le ministère annonce une saison en hausse dans sont message aux personnels.
Saviez vous que le ministère du tourisme na meme pas été capable de mettre un groupe de travail pour mettre en application les rapports successif sur l'audit du tourisme tunisien. Saviez vous que le marketing en ligne est quasi inexistant et que les nouvelles technologie sont des mots inconnu dans le vocabulaire de c'est ancêtres du moyen ages qui occupe des postes dans l'administration publique. Pensez-vous que la-bas dans l'administration publique ont connaisse le mot analyse concurrentielle ? En tout cas la Tunisie n'est pas sorti de l'auberge ...Si le ministre échoue a redressé le secteur, devras-t'il rendre des comptes et dégager de la place ? Non, car en Tunisie ont a jamais de comptes a rendre, c'est le pays de l'incompétence généralisé .... 16 hotels ont fermé leurs portes a Tozeur, mais ca ont pipe mot ! Chuuuuut, allé tout va bien en Tunisie puisque ont vous le dit, le secteur est entre de bonne mains

Mission impossible pour visité un site touristique


Ca tombe bien par ce que hier matin j'ai décidé de visite Thuburbos Majus, j'ai effectué une visite pendant 3 heures. Avant d'arrivé sur le site, j'ai du galéré en voiture. En arrivant dans la ville voisine de El fays qui est juste a coté il n'existe tout simplement aucun panneau de signalisation a l'entrée de la ville comme a la sortie de la ville. Une fois sortie de la ville j'ai du demandé a un policier en faction au rond point mon chemin. Alors moi qui suit tunisien et habitué a cet etat de fait, que pensera un touriste qui vient visité la Tunisie en 2013 et qui ne trouve meme pas sont chemin ?
Arrivé sur le site a l'entrée, il n'y a meme pas un tableau ou un ecrant plat sur l'histoire de Thuburbos Majus. Aucun guide et aucun plant du site a vendre pour le visiteur non plus. Mon salut m'est venu de consulté Wikipeadia, l'encyclopedie en ligne qui m'as appris plus sur le site que n'importe quel site web tunisien : http://fr.wikipedia.org/wiki/Thuburbo_Majus 
Cet histoire je l'ai vécu hier ...


Thuburbos Majus
L'entrée et le site touristique est complètement desert, j'ai eu 3 heures de solitude  

Thuburbos Majus
Un livre que j'ai acheté a l'etranger pour visité mon pays vu que l'information n'existe pas en Tunisie

Thuburbos Majus
Les seuls panneau qui existe se trouve juste en face de l'entrée. Une fois sorti du site vous ne trouverez aucun panneau pour vous indiquez votre chemin pour trouvé le site touristique !


MINISTERE DU TOURISME en Tunisie
Un islamiste a la tete du tourisme en Tunisie

Chers collègues ;
A l'occasion de l'avènement du mois saint du Ramadhan je vous adresse mes vœux les plus sincères de bonheur et de succès ainsi qu'à vos familles.
Mes félicitations s'adressent également aux familles dont les enfants ont brillé au cours des récents examens nationaux.
Je voudrais , à cette occasion insister sur la conjoncture délicate parfois difficile que traverse notre secteur et les défis auxquels il est confronté au cours de la prochaine étape et pour vous dire que le chemin déjà parcouru est certes encourageant . Il incite à davantage d'efforts à une action collective concertée et permanente.
Je voudrais également saluer les efforts de tous les fonctionnaires , qu'ils soient établis à l'étranger ou à l'intérieur du pays et les responsables et dirigeants des associations , des structures syndicales et des amicales de notre Ministère qui tendent à faire émerger un climat social sain tant nécessaire pour la qualité et le rendement de notre prestation administrative.
Aujourd'hui le tourisme tunisien amorce une saison estivale qui s'annonce bonne. De ce fait nous avons tous le devoir et l'obligation de réussir cette saison qui aura le mérite d'inscrire notre secteur dans une dynamique de croissance durable. Mais au delà du traitement conjoncturel de la situation, la restructuration du secteur, la diversification de notre offre et le programme d’investissement qui l’accompagne ainsi que la bonne utilisation des nouvelles technologie doivent retenir notre attention et notre mobilisation s'agissant de dossiers hautement stratégiques.
Je suis convaincu que cette invitation à l'effort et à l'abnégation trouvera un écho largement favorable auprès de vous tous.
Ramadhan mabrouk.

Jamel Gamra

Ministre du tourisme

jeudi 4 juillet 2013

Islamic finance in Tunisia

News Sharia finance in Tunisia


For an investment fund on Wall Street (united state of america), I am led to answer questions on the finance of the sharia, or product of Islamic finance in Tunisia.
If you are also interested in my newsletters you contacted me through my website: www.fyeldconsulting.com

News about Islamic finance in Tunisia


Islamic Insurance : Official launch of Zaytuna Takaful

Tuesday, 11 June  2013, that took place the official launch of the Zaytuna Takaful, El Amana Takaful company private law. She became agreee by governments in Tunisia Islamic insurance company.

El Amana Takaful, the first company specializing in Islamic insurance in Tunisia and reinforces even more the introduction of Islamic financial system in Tunisia. The aim of the bank is to occupy a prominent place in the insurance sector in Tunisia

For Zaytuna Takaful insurance, the goal is to participate in innovation and diversification of Tunisian insurance products, contribute to the economic development of the country, business sustainability and social well-being of individuals.
For Tunisians who have use of Islamic Takaful insurance, they can ensure their vehicles, homes, assistance as well as the risk of companies, shipyards and the Takaful sea, land and air transportation.
Takaful insurance also includes savings insurance plans foresight, such as personal protection coverage and savings funds-including the complement individual retirement, scholarships studies, savings account.

Administrators representatives of the State for a term of 3 years Zaytuna Takaful have since May 2012, and Imen Hmila Ahmed Hadroug.
The Board of Directors is composed of the Princess Holding Company, forfeited by the State as the Zaytuna Bank and the Company Portfolio Invest
The Tunisian state occupies two seats and Mahfoud Barouni occupies a place as a member of the Board of Directors.

El Amana Takaful was created as part of a project of Tunisia and Saudi partnership with a group of Tunisian companies of insurance and reinsurance (MAP, COMAR, and ASTREE TUNIS RE), which holds a 60% stake.
There are also companies owned directly or indirectly groups Dallah El Baraka and El Baraka Bank of Bahrain, both properties of the Saudi businessman Sheikh Salah Abdallah El Kamel, a level of 34% stake (Baraka Bank Tunis the Beit Ettaoufik investment company and Best lease) while MZABI group (tunisia) participates in the share capital of up to 6%.

There are currently three Tunisia Islamic insurance companies, 2 are still being created.

Law


Today, the development of Islamic banking and Islamic insurance depends strongly and a priori introduction of legislation more in line with expectations and market needs.

The chairman of the Finance Committee recalled that the Finance Act 2013 provides $ 500 million dollars in cash based on the issuance of Sukuk. Therefore, it is a new resource that the ins and outs need to be clarified by Ferjani Doghmane. He also said that the final report on the bill on Islamic Sukuk will be presented by the end of June 2013.

In addition to the Governor of the Tunisian Central Bank, the issuance of Islamic sukuk it will very likely not be issued this year

Do not hesitate to write me for more information in Tunisia.
Soufian
Risk Analysis, competititve intelligence 

We carry:
Surveys of Tunisian businessmen
Investigations of the past companies with which our European customers want to come into relationship
Lobbying within government for companies
Economic intelligence
Bench marketing
Knowledge management
Market research
Sleep on a topic


if you waited a few months, I could ask when I returned to Belgium documentation in English. In fact I should have done in our English web site, but I have not had the time to busy project


lundi 1 juillet 2013

Le business des banquiers dans les hôpitaux privé en Tunisie

Entre l’Hippocrate et l’hypocrite


Le secteur de la santé en Tunisie n’échappe pas à la gabegie et à l’anarchie, particulièrement ces dernièrs temps. Seul les riches ont acces aux hôpitaux super equipé en Tunisie, et ce ne sont pas les hopitaux privé hors de prix qui acceuillerons demain un pauvre. En Tunisie ce qui frappe c'est que les hopitaux privé pousse comme des champignons, le marché est dominé par une banque et quelque hommes d'affaire qui se sont engoufré dans la breche pour se faire de l'oseille sur le dos de l'etat. Et l'état ne bouge pas d'un iota, laisse faire ....


L'etat est le premier responsable de la situation actuel


Depuis des années ce sont les ministres de la santé qui se sont succédé qui ne prenne aucune mesure structurel et qui sont la cause principale de l'état de délabrement du secteur hospitalier.

Lors de la visite du ministre de la santé Mekni au mois de mai à Beja pour l'innauguration de la nouvelle clinique de Beja ( construit par une banque du nom de Amen Banque), les futures blouse blanche et les infirmier était venu manifesté leurs colere dans la rue en face et sont revenues à la charge pour soulever les mêmes revendications, qui finalement n’ont pas été réglées par l’ex-ministre de la Santé qui a préféré les evités et les ignoré comme si de rien n'était... D'ailleurs comment se fait-il qu'un ministre qui gere les hôpitaux publique vienne t'il faire l'inauguration d'un hôpital privé appartenant a une banque de la place ? Ne devrait-il pas s'occupé du service publique et remedié aux problèmes du secteur avant d'aller aidé une banque pour le cirque médiatique  Le ministre touche t-il des backchich de Amen Banque ? Que lui rapporte t'il de faire une apparition au benefice des bankster ? Bizarrie, avec ce gouvernement d'incompetent ont peut s'attendre a rien de bon pour la santé des pauvres ....

Entre le business et l’hôpital de fortune


En Tunisie il existe des hopitaux public ou des medecins privé spécialiste exerce en tant que praticien du privé. Comment cela est-il possible ? En visant l'hopital de Jendouba, la premiere chose que je constate c'est l'etat d'extreme vétusté du materiel hospitalier dans les pieces, ont se croirait dans un hôpital d'une republique bananiere. Mais ce qui frappe encore plus, c'est que ce soit un chinois qui gere l'hopital tout entier! La d'ou je viens en Europe ce genre de chose n'existe pas. Ont y trouve aussi un Russe qui exerce a l'interieur de l'hopital de Jendouba. En discutant avec plusieurs patient dans les couloir de l'hôpital dans la region voisine, j'apprend que les patients doivent pays en plus un backchich pour que le medecin les soignes, sinon les patients sont oublié aux calandre grec sur leurs lit d'hôpital...
Je rencontre aussi un autre patient, celui ci est venu a Jendouba se faire opéré car quelque mois plus tot il est tombé par terre quand il était assis sur le dos son ane. Apres l'operation quelque mois plus tard je le recontacte pour avoir sont avis sur l'operation de la hanche. Il me fait dire qu'il souffre toujours de douleur et que le medecin ne l'aurais pas soigné correctement et qu'il na pas les moyens financier de revenir... Ainsi va la vie et il ne faudras pas venir parlé de faute medicale dans le chef du chirurgiens ...

Le ministre de la santé se fou de la charité


En Tunisie, il est difficile de garder son sang-froid quand on constate qu’un medecin public n’arrive pas à joindre les deux bouts et qu’un autre, perçoit un salaire royal dans une clinique privé. Voilà pourquoi nos médecins font des grève. Et voilà pourquoi nos hôpitaux sont désertés par ces professionnels et c'est future médecin sorti de l'université qui préfèrent le secteur privé, plus rentable. La légitimité donc des revendications, ne souffre d’aucune anomalie, reste la légalité.

Si la blouse ne fait pas le médecin, la cravate ne fait pas le ministre. Dans la médecine il y a le serment d’Hippocrate et chez les banquiers il y a les hipocrites qui gagne des sous sur le dos des patients riche. Cependant quand on laisse des patients souffrir, quand le service minimum dans un secteur aussi vital que la santé n’est pas assuré, on bascule tout de go en mode « hypocrisie et d’égoïsme ». Des chirurgiens qui boudent des blocs opératoires, alors que les malades sont allongés sur des brancards, sont des scènes qui n’honorent point le noble métier de médecin en Tunisie.

Le fléau des APC


L'activité privée complémentaire, alias «APC», une incursion du privé dans le public n'a fait que précipiter la décadence de la qualité des soins des hopitaux publique. Si on fait le bilan dans nos hôpitaux deux ans après la révolution, on remarque que absolument rien n'a changé. Les services sont toujours bondés de patients, les délais d'attentes restent interminables et la qualité des soins laisse toujours à désirer. Quant à cette fameuse APC, elle continue à ronger des parts de marché dans les établissements publique. Ce sont des professeurs et autres praticiens qui en bénéficient le plus clair du temps, des passe droit ont lieu dans les etablissement publique sans aucune sanction et ceux continue d'en abuser en toute légalité. Le ministère de la santé ainsi que les autorités ferment les yeux sur les tarifs et les pratique du secteur. Rien que dans les hôpitaux de Sousse, des chirurgiens et des gynécologues qui ont été sanctionnés l'année dernière, ceux ci continuent à opérer dans des cliniques privés ou faire des remplacements un peu partout. Il n'y qu'à vérifier les registres des cliniques de Sousse pour voir l'étendue des dégâts. L'assainissement s'avère une nécessité urgente. Pire des medecins formé dans le secteur public font bénéficié le secteur privé de leurs pratique acquise. Le monde a l'envers !

Il ne faut  pas oublier que l'avantage de l'APC etait de maintenir de grands spécialistes dans les hôpitaux  publique (pour le commun des Tunisiens). Par ailleurs, il serait injuste de ne pas parler des dérives du privé dans ce même contexte .... Profit à outrance, opacité des honoraires et des prescriptions, formation continue et mise à niveau... et surtout fuite fiscale importante puisque c'est le meme medecin ne paye qu'un forfait fiscal aux service fiscaux et non une taxe sur les revenus. Si les médecins du privé payaient correctement leurs impôts, l’État trouverait de quoi augmenter les salaires d'imminents spécialistes, financer la CNAM par exemple ...

Un dictateur a Sousse

Au CHU Farhat Hached (Sousse) et pour ne pas citer de nom d'un certain chef de service bien connu pour son excès de zele, abuse de son autorité et impose à ses résidents – médecins en cours de formation – de faire les comptes-rendus en son propre nom, de passé des examens faits dans le cadre de son activité privée. Ces résidents, s'ils osent se révolter ils seraient bannis à jamais du service et même de la spécialité en cas de réclamation.
Il faut dire que les revendication sont les memes Depuis la révolution: Des promesses électorales en investissement qui n'engage que ceux qui y croient.
Les établissements publics souffrent d'un grand manque de moyens et d'équipements. Des patients agresse les medecins et les infirmier, et aucun niveau de sécurité dans les hopitaux public, pas de systeme de sécurité, les hôpitaux sont devenu un défouloir ou les pauvres font payer les maux de leurs problemes sur les medecins


Le ministre main dans la main avec le banquier


Le "Dégage" du staff hospitalier de Béja au ministre de la Santé.


En marge de ce qui devait être le clou de l'inauguration avec le «couper de ruban» par le ministre de la santé Abdellatif Mekki, on a vu arriver, de droite et de gauche, deux groupes de manifestants (l'un représentant le staff hospitalier de Béja et l'autre des étudiants) bien déterminés à exprimer «en live» au ministre leur mécontentement.

Principal motif de la grogne : «le ministre vient inaugurer une clinique privée alors que nous, à l'hôpital publique, il nous zappe complètement en venant faire une visite éclair de 5 minutes et à 3h du mat'!», dit un membre du staff hospitalier local. «Ils veulent délocaliser l'Institut à Jendouba et nous ça nous arrange pas du tout !», ajoutent les étudiants...


Les étudiants sont eux aussi venu manifester leur rales bole 

Pour conclure, même si la guerre de Troie n'a pas eu lieu lors de l'inauguration de la clinique Amen Béja, le cheval, lui, existe bel et bien. Et tant que le malaise du secteur hospitalier n'aura pas été soigné, tant que la crise que traverse ce secteur n'aura pas été diagnostiquée (manque d'effectifs, moyens insuffisants, augmentation des tâches non-sanitaires par la gestion de prestations et saisie des données qui constitue autant de temps non consacré à la personne souffrante, désorganisation des services, nécessité de polyvalence, l'absentéisme, etc.), on risque gros en Tunisie. Encore une tâche énorme qui attend la Tunisie de demain, la réforme du secteur de la santé

Amen, du col blanc 
à la blouse blanche


aux services de santé. Déjà à la tête d’un réseau de cliniques privée, sa filiale spécialisée a fait sien le concept d’hôpital privé. Explications.

Présent dans plus de deux cents entreprises de promotion immobilière, actif dans le crédit-bail avec une filiale en Libye et une stratégie d’expansion au sud du Sahara, le groupe Amen, fondé par la famille tunisienne Ben Yedder, est aussi le premier opérateur privé en matière de services de santé. Il a développé, via sa filiale Amen Santé, le seul réseau de cliniques en Tunisie (les cliniques El Amen à Mutuelleville, La Marsa, Béja et Gafsa). Détenu majoritairement par la Compagnie méditerranéenne d’assurances et de réassurances (Comar, autre filiale d’Amen) et Amen Bank, la division santé gère actuellement 300 lits – l’équivalent d’une importante unité hôtelièr

Antoine Courcelle-Labrousse, représentant de l'IFC, se réjouit d'être un actionnaire actif d'Amen Santé.
Amen Santé qui est une succursale de la banque Amen possede les etablissement suivant: Un centre hospitalier a Bizerte et Nabeul, Gafsa. Monsieur Hakim Ben Yedder, président du Groupe Amen Santé peut avoir le sourire aux levres il vient d'inauguré la clinique flambant neuve d'Amen Béja, en présence de personnalités locales, de nombreux représentants du corps médical, de la presse et du ministre de la Santé Abdellatif Mekki.


Dr Zohra M'Hamdi, DGA Clinic Béja, avec Mohamed Ben Hmida, DG Amen Santé.



Hakim Ben Yedder
Le banquier Hakim Ben Yedder et le ministre Ebnnahda Abdellatif Mekki inaugurent Béja Amen Clinic.

Déclaration : Mohamed Ben Hmida, directeur général d'Amen Santé: "Avec la Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam), tout le monde pourra se soigner et c'est ce que nous souhaitons».